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31 décembre 2015

J’ai tourné la page/Entretien avec la réalisatrice Lina Nabidon KEKEH


Raphaël est très heureux. Il vient d’avoir un enfant et s’apprête à lui donner un nom. Hélas ! Son bonheur s’est vite éclipsé devant les effrayantes révélations de Essenam, sa meilleure amie. Cette court-métrage de 13 minutes dénonce l’envie et la jalousie.


A.A: <<J’ai tourné la page>>. Vous avez tourné quelle page ?
N.K : <<J’ai tourné la page>> est un signe de pardon. L’actrice a pardonné tout ce que sa sœur lui a fait. Elle a oublié les rancunes qu’elle avait contre sa sœur.

A.A : Sur quoi porte essentiellement le film ?
N.K : Le film porte principalement sur la jalousie et l’envie.

A.A : Pourquoi avez-vous choisi ces thèmes ?
N.K : J’ai choisi ces sujets parce que j’ai en horreur les coups bas que les gens se font de nos jours dans la vie sociale ou professionnelle.

A.A : C’est dans la dernière séquence du film qu’on découvre presque toutes les vérités. Pourquoi ce schéma ? 

N.K : C’est un choix artistique. J’ai voulu tenir le public en haleine.

A.A : Quelles difficultés avez-vous rencontré lors de la réalisation ?
N.K : Une réalisation comporte toujours des difficultés. Je ne veux pas citer les miennes. Je préfère les garder pour moi. L’essentiel, c’est qu’à la fin, j’ai eu le résultat escompté.

A.A : Que peut-on tirer de ce film comme leçon de morale ?
N.K : Dans la vie, il ne faut jamais envier son prochain. Nous sommes nés sous différentes étoiles. Le mieux serait de prier Dieu pour qu’il nous guide durant notre vie pour que nous puissions trouver le bonheur.

A.A : Un mot de fin ?
N.K : Je remercie tout le monde, ma famille, mes amis, mes acteurs et toute mon équipe.

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